L’année 2024 a été marquée par une escalade dramatique des violences contre les enfants en Haïti. Selon un rapport de Save the Children publié le 11 février, 289 mineurs ont été tués ou blessés, soit une hausse de 68 % par rapport à l’année précédente. Un chiffre alarmant qui reflète l’impact grandissant des groupes armés sur une jeunesse piégée dans un climat d’insécurité extrême.
En moyenne, 24 enfants ont été victimes de violences chaque mois en 2024. Plus de 200 ont été directement ciblés par les affrontements entre gangs, tandis qu’un tiers des mineurs tués au cours du dernier trimestre de l’année étaient eux-mêmes enrôlés dans ces groupes criminels.
« Les enfants vivant dans des zones de conflits ne peuvent ni aller à l’école ni jouer en toute sécurité. Ils vivent sous la menace permanente de la violence », alerte Chantal Sylvie Imbeault, directrice de Save the Children en Haïti. Le recrutement forcé de mineurs par les gangs reste une préoccupation majeure : certains, âgés de moins de 12 ans, sont contraints de commettre des crimes, notamment des assassinats et des enlèvements.
En moyenne, 24 enfants ont été victimes de violences chaque mois en 2024. Plus de 200 ont été directement ciblés par les affrontements entre gangs, tandis qu’un tiers des mineurs tués au cours du dernier trimestre de l’année étaient eux-mêmes enrôlés dans ces groupes criminels.
« Les enfants vivant dans des zones de conflits ne peuvent ni aller à l’école ni jouer en toute sécurité. Ils vivent sous la menace permanente de la violence », alerte Chantal Sylvie Imbeault, directrice de Save the Children en Haïti. Le recrutement forcé de mineurs par les gangs reste une préoccupation majeure : certains, âgés de moins de 12 ans, sont contraints de commettre des crimes, notamment des assassinats et des enlèvements.
Photo: Outre-mer la 1ère - Franceinfo
Laisser un commentaire