Washington lève le voile sur le Golden Dome, un ambitieux système de défense antimissile orbital destiné à neutraliser toute menace, des projectiles balistiques aux missiles hypersoniques. Une démonstration de force technologique saluée... et scrutée.



Les États-Unis ont officiellement présenté les grandes lignes du « Golden Dome », un programme de défense antimissile d’un nouveau genre, intégrant des intercepteurs en orbite terrestre pour une couverture globale.

D’un coût estimé à 175 milliards de dollars, le projet vise à protéger le territoire américain contre toutes les menaces stratégiques, notamment les missiles hypersoniques, que peu de systèmes actuels peuvent intercepter.

Donald Trump, déterminé à inscrire cette avancée dans son bilan, a promis un déploiement opérationnel d’ici la fin de son mandat. Il affirme que les États-Unis sont les seuls à détenir une telle supériorité technologique.

Le Canada a déjà exprimé sa volonté d’intégrer ce bouclier, évoquant une coopération stratégique nord-américaine renforcée.

Ce « Dôme doré » marque une nouvelle ère de la dissuasion spatiale — entre prouesse militaire et tensions géopolitiques accrues.