Un simple rituel de bain partagé par Meghan Markle dans une série Netflix vire au cauchemar pour une femme diabétique. Brûlures graves, hospitalisation, poursuites potentielles… la duchesse de Sussex est désormais au cœur d’une polémique mêlant beauté, santé publique et responsabilité médiatique.



Une Américaine diabétique accuse Meghan Markle d’avoir mis sa santé en danger à travers un conseil beauté diffusé sur Netflix. Robin Patrick, une résidente de l’Arizona, affirme avoir été gravement brûlée après avoir suivi une recette de sels de bain maison que la duchesse de Sussex aurait partagée dans une série documentaire.

Selon la plaignante, le mélange recommandé — sels d’Epsom, sels roses de l’Himalaya, huile d’arnica et lavande — aurait provoqué des brûlures immédiates dès qu’elle s’est immergée dans la baignoire. Diagnostiquée diabétique, elle affirme ne pas avoir été avertie des risques potentiels liés à sa condition médicale.

La situation a rapidement pris une tournure judiciaire : Robin Patrick réclame 75 000 dollars pour les soins médicaux déjà engagés, mais menace aussi d’intenter une poursuite de 10 millions de dollars contre Meghan Markle et la plateforme Netflix pour « mépris de la sécurité publique ».

Un bain… et une tempête médiatique

Ce qui semblait être un moment de bien-être inspiré par la duchesse est désormais au centre d’un débat sur la responsabilité des personnalités publiques et l’influence des contenus lifestyle. Dans l’univers très suivi du bien-être et des soins naturels, chaque mot, chaque recette, peut avoir des conséquences inattendues – surtout lorsqu’il est suivi sans avis médical.

Une défense prudente du côté de la duchesse

Les avocats de Meghan Markle ont réagi rapidement :

> « L’utilisation de sels d’Epsom est formellement déconseillée aux personnes diabétiques sans supervision médicale, comme cela est mentionné sur la majorité des emballages de ce type de produit. »

Ils précisent également que la recette évoquée dans la série n’était ni une recommandation médicale, ni une prescription personnalisée, mais simplement un partage personnel d’habitudes bien-être.